Oeuvres VIEdermistes de Murielle Belin, inspirations imaginaires mixed-media sculptures, taxidermie, in formol, peintures et illustrations.
Travaille près de Nancy (1976).
Oeuvres VIEdermistes de Murielle Belin, inspirations imaginaires mixed-media sculptures, taxidermie, in formol, peintures et illustrations.
Travaille près de Nancy (1976).
Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina.
De Molina utilise des parties d’animaux et les fusionne pour créer des êtres étranges, un exemple comporte la tête de deux cygnes sur le corps d’une chèvre et une autre montre la tête d’un écureuil en prise avec un crabe.
Des dérives de la taxydermie, l’artiste a plaidé coupable d’avoir importé illégalement des pièces provenant d’espèces en voie de disparition. Des cobras entiers, des pangolins, des calaos, des crânes de babirusa ou de orangs-outans venant de régions partout dans le monde y compris à Bali, en Indonésie, en Thaïlande, aux Philippines ou encore de Chine.
L’artiste affirme qu’il visait à sensibiliser son travail face au danger d’extinction d’une série d’espèces, souhaitant de même représenter les dangers du génie génétique et de l’intervention humaine.
Sur un site Web présentant son travail, il dit : » L’impossibilité d’existence de mes créatures m’amène à la fois de la joie et de la tristesse. «
Sa joie – de voir et de vivre le fantasme de ses œuvres, couplée à la tristesse du fait que nous sommes en train de détruire toutes ces belles choses.
(C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité).
[Source in en : Dailymail]
Aerial taxidermy art by Claire Morgan, born in Belfast in 1980, and now lives in London.
She graduated from Northumbria University in 2003 with a first class honours degree in Sculpture and is now based in London. Claire has exhibited internationally, with solo and group shows in UK and Europe, and museum shows in US and Australia.
« My work is about our relationship with the rest of nature, explored through notions of change, the passing of time, and the transience of everything around us. For me, creating seemingly solid structures or forms from thousands of individually suspended elements has a direct relation with my experience of these forces. There is a sense of fragility and a lack of solidity that carries through all the sculptures. I feel as if they are somewhere between movement and stillness, and thus in possession of a certain energy.Animals, birds and insects have been present in my recent sculptures, and I use suspense to create something akin to freeze frames. In some works, animals might appear to rest, fly or fall through other seemingly solid suspended forms. In other works, insects appear to fly in static formations. The evidence of gravity – or lack of it – inherent in these scenarios is what brings them to life, or death. »
Kate Clark, L’ animal est un homme inexpressif * et je reste dubitative de son travail, n’étant absolument pas fan de la taxidermie en général. [animal is an expressionless man]
Kate Clark is a sculptor who lives and works in Brooklyn, NY. Her work studies the tension between personal and mythical realms by creating sculpture that synthesizes the human face and the body of wild animals.
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« Son concept est né lors de ces études, à l’université d’Ivy League, en lisant le livre « Becoming Human : Evolution and Human Uniqueness » de Ian Tattersall.
Elle s’attarde sur un chapitre sur l’évolution du visage humain. Cette partie du livre traite des changements spécifiques ayant eu lieu sur le faciès humain avec le temps tels que le visage imberbe, le blanc des yeux, les sourcils, … et en quoi ils ont permis de faciliter la lecture d’une grande variétés d’expressions faciales.
Ces oeuvres sont créées à partir de vraie peau animale. Pour la création des têtes, elle sculpte les visages de ces oeuvres de manière à ce qu’elles soient crédibles et réalistes.
Les sections de peau qui recouvrait auparavant le visage de l’animal sont rasées de leur fourrure et apposées sur le visage sculpté en prenant soin de faire concorder, par exemple, les cils et les paupières de l’animal avec le pourtour des yeux humains. Cette peau rasée rappelant, par son côté huileux et poreux la peau humaine pour plus de réalisme bien que les coutures et points montrent un travail de reconstitution. Il a fallu de nombreux essais pour qu’elle soit capable de trouver l’équilibre entre les traits faciaux animaux et humains.«
*(Titre et une partie de l’article, lire la suite sur efonderie)
Crystal Beads Taxidermy by Kohei Nawa.
Japanese sculptor and assistant professor at Kyoto University of Art and Design, Kohei Nawa is known for his pixcell series, where countless transparent glass beads encase the artwork objects.
Strange.
« Most of the motifs, like stuffed animals are found through the internet. I search some auction sites and choose from the images which appear on a monitor as pixel. However, the stuffed animals which actually have been purchased and sent have real flesh feel and smell, and have a discrepancy with images on the monitor. I then transpose them to PixCell in turn. »
Taxidermie ART ?… est l’art de donner l’apparence du vivant à des animaux morts.
Le principe de la taxidermie consiste à construire une structure ou squelette (en métal ou en bois) sur laquelle on reconstitue les formes de l’animal. Cette reconstitution se faisait initialement en paille, d’où le terme d’empaillage pour désigner l’opération. On parle aussi de naturalisation. La peau de l’animal est ensuite posée par-dessus et ajustée, après avoir été tannée et protégée par des agents chimiques divers.
Pour restaurer au mieux les caractéristiques de l’animal et rendre la plus réaliste possible la reconstitution, on utilise des yeux de verre et d’autres artifices pour certains organes qui ne peuvent pas être conservés chimiquement, comme par exemple la langue.
En avril 2013, un cheval « taxidermisé » avait été exposé à Geneve (voir mon post du mois d’avril), suscitant de nombreuses réactions aux sentiments morbidex, les auteurs de l’oeuvre – Maya Boesch et Régis Golay s’en étaient défendu au nom de l’art… A noter que l’oeuvre a été décroché définitivement le Dimanche 7 avril 2013 suite à une pétition.
Le cheval, c’est en fait celui de Richard III de William Shakespeare. La metteure en scène Maya Boesch avait monté la tragédie à la Comédie de Genève en décembre 2005. On y voyait l’animal pendu, montant et descendant sur la scène des Philosophes, relié par une poulie à un globe terrestre. Un écho à la célèbre réplique du roi guerrier défait sur le champ de bataille: « Un cheval! un cheval! mon royaume pour un cheval! »
«Depuis plus de huit ans, le cheval était rangé, perdu parmi les accessoires du théâtre, raconte Régis Golay. Nous nous sommes retrouvés, Maya et moi, face à cet animal et l’idée nous est venue de l’exposer en public comme si nous avions découvert un trophée au marché aux puces.»
Il l’ont donc suspendu à deux sangles, au beau milieu de la galerie Zabriskie Point, ancienne salle d’attente d’un des arrêts les plus emblématiques de la ligne 12 des TPG. Comme ça, sans explication ni dossier de presse! «Je ne légende jamais mes images et ne fais pas de pédagogie», répond le photographe installé aux Acacias. Rien à voir donc avec la récente crise du cheval vendu pour du bœuf dans les lasagnes européennes? «Absolument aucune relation», assure Régis Golay, que le buzz autour de cette affaire interpelle tout de même. Il recadre sa première appréciation: «En fait, le cadrage c’est déjà de l’art et le happening qui s’est spontanément développer est aussi une forme d’art.» Source : www.tdg.ch
Voici donc une sélection d’oeuvre taxidermiste
et je me pose la question…
Drole de titre ?
The Promise of Money, 2003, Damien Hirst
Voir aussi une page dédiée à ce sujet sur trumbl.