Fine digital Art of Diego Fernandez. Digital illustrator from Buenos Aires, (Argentina).
Lee Jeffries photography – Portraits (UK)
Lee Jeffries is a contemporary realist photographer who focuses on portraying the homeless. ’Everyone else walks by like the homeless are invisible. I’m stepping through the fear, in the hope that people will realise these people are just like me and you.’ His photographs have the gravity and the authenticity that emerges from genuine human connections. Lee Jeffries does know each of his subject personally – sometimes even sharing their rough sleeping experience to build a real relationship. Through astonishing close ups, Lee Jeffries expresses this heart moving intimacy and captures the universal beauty of humanity.
Wet plate collodion photography Dave King (UK)
Voir aussi le travail de Alex Timmermans
Esthétisme absolu dans les photographies de Desiree Dolron. Artiste Néerlandaise.
Desiree Dolron, l’une des figures les plus remarquables de la photographie néerlandaise contemporaine, aspire à une esthétique de l’absolu alliant mystère, violence et perfection.
Sa première série, Exaltation, Images of Religion and Death (1991-1999), consacrée aux rituels religieux, va de la transe à la mutilation. Avec ce travail, elle invente un style à la fois plasticien et documentaire. Gaze(1996-1998), une série de portraits réalisés sous l’eau, semble issue d’un univers mythologique à la frontière entre la vie et la mort. Xteriors (2001-2006) revisite la peinture flamande via l’outil numérique pour créer un monde distant et sacré, d’une tension extrême. Apportant un soin méticuleux à l’impression de ses œuvres, elle considère le livre comme leur aboutissement. (Source texte : Livre Desiree Dolron, ed. Xavier Barral)
Slovak art photographer – Martin Iman (1969)
Lives in Bratislava, Slovakia. Exhibitions and forms in various places in Europe.
Intense portrait by Tertius Alio (Saint-Pétersbourg)
Alias Daniil Kontorovich on 500px
Corps & Ame de Benjamin Carbonne, Artiste peintre, performer
Parti de l’étude purement plastique de l’Homme, Benjamin Carbonne peint l’histoire de ses personnages. Chacune de ses peintures porte en elle un héritage quil s’attache à révéler dans les visages, les corps, la chair. Ne rendant compte avec précision que d’un détail -un bras, un buste, un regard- qui porterait en lui les traces de ce qui l’a construit.
Ses récentes recherches sur la relation entre peinture et photographie l’ont mené vers l’étude du mouvement et sa dissociation. Prendre le corps dans l’instant de sa course et, par une seule représentation, voir la progression dans son ensemble. Chaque position marque un état de transition. Déposé sur la surface de la toile, mobile, en marche, le corps s’élance librement sur l’axe du temps et de l’espace. Par sa démarche, Benjamin Carbonne nous montre ce présent que l’on ne peut pas voir, il choisit des gestes, des instantanés qui suggèrent le mouvement de toute une vie.