Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina.
De Molina utilise des parties d’animaux et les fusionne pour créer des êtres étranges, un exemple comporte la tête de deux cygnes sur le corps d’une chèvre et une autre montre la tête d’un écureuil en prise avec un crabe.
Des dérives de la taxydermie, l’artiste a plaidé coupable d’avoir importé illégalement des pièces provenant d’espèces en voie de disparition. Des cobras entiers, des pangolins, des calaos, des crânes de babirusa ou de orangs-outans venant de régions partout dans le monde y compris à Bali, en Indonésie, en Thaïlande, aux Philippines ou encore de Chine.
L’artiste affirme qu’il visait à sensibiliser son travail face au danger d’extinction d’une série d’espèces, souhaitant de même représenter les dangers du génie génétique et de l’intervention humaine.
Sur un site Web présentant son travail, il dit : » L’impossibilité d’existence de mes créatures m’amène à la fois de la joie et de la tristesse. «
Sa joie – de voir et de vivre le fantasme de ses œuvres, couplée à la tristesse du fait que nous sommes en train de détruire toutes ces belles choses.
(C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité).
[Source in en : Dailymail]