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  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture
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  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture wings
  • Jeremy Mayer – Bird – Typewriter assemblage sculptures
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture robot
  • Jeremy Mayer – Skull I – Typewriter parts – 23 x 30 x 38 cm
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture atelier
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture – Penguin III
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture – Deer III. 2010
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture – Cat
  • Jeremy Mayer – Cat XXI – Typewriter parts – 20 x 30 x 50 cm – 2014
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture Cat
  • Jeremy Mayer – Cat – Typewriter part sculpture
  • Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture portrait

Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture


Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture (live and work in Oakland)

Jeremy Mayer disassemble typewriters and then reassemble them into full-scale, anatomically correct human figures: « I do not solder, weld, or glue these assemblages together – the process is entirely cold assembly. I don’t use anything that doesn’t come from a typewriter. »

Jeremy Mayer - Typewriter assemblage sculpture - Cat

Jeremy Mayer – Typewriter assemblage sculpture – Cat

  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre ©Photo : M Le Roy
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre ©Photo : M Le Roy
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre ©Photo : M Le Roy
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre
  • Sculptures – Bestiaire Sophie Favre ©Photo : M Le Roy

Le charmant bestiaire de Sophie Favre


Le charmant bestiaire de Sophie Favre (France), née en 1950 d’une mère céramiste et d’un père peintre et dessinateur.

Sculptures - Bestiaire Sophie Favre ©Photo : M Le Roy

« Après des études aux Beaux Arts de Paris, Sophie Favre apprend à travailler la terre avec sa mère et se passionne très vite pour cette matière qui lui permet d’imaginer et de donner corps à des personnages ou à des animaux, d’abord au tour comme les céramistes, puis par modelage. Chargées de sentiments subtils, les « créatures » de Sophie Favre ont le don de susciter l’identification par de menus détails. S’il ne s’agit pas de caricatures, elles semblent pourtant revendiquer leur caractère comique et maladroit, et c’est ce qui les rend furieusement attachantes.
Aujourd’hui, l’œuvre de Sophie Favre est reconnue internationalement, elle figure dans les grandes collections et la revue « Miroir de l’Art » a élu l’artiste parmi les « Révélations de l’année 2012 ». (Source texte : ALQUIER100)

Test Nikon D610 en basse lumiere / iso 6400 et maxi


Test Nikon D610 en basse lumiere / iso 6400 et maxi.

Condition : 1 source de lumière type petit halogène en Intérieur. Sans Flash. Sans pied.
Objectif : Sigma 150.0 mm macro – f/2.8
Sujet : MonTiti très patient :)

(Clic droit sur l »image, ouvrir l’image dans un nouvel onglet pour la voir en meilleure résolution)

Essai 1 : 1/800 s;   f/3,3;   ISO 6400 / recadrée légèrement

Test Nilon D610 basse lumiere sans flash

Test Nikon D610 basse lumiere sans flash

Essai 2 : 1/800 s;   f/3,3;   ISO 25600 / non recadrée

Test Nilon D610 basse lumiere iso maxi

Test Nikon D610 basse lumiere iso maxi

Un rendu haute résolution magnifique, qualité du détail, peu de grain. De la profondeur dans les tons…
Ce Nikon D610 est une bombe ! (sans parler du couplage avec l’objectif Sigma 150 macro)

  • sur le même thème,
    sur questionsphoto.comLe capteur du Nikon D610 et les hauts ISO
    « Les mesures de capacité du capteur en RAW, publiées par le site DxO Mark, permettent de voir qu’à taille de tirage égale (mesure « mode Print »), le niveau de bruit numérique du D610 (ligne orange) se superpose exactement à ceux des D800E et D4, nettement plus haut de gamme. L’ancienne référence pro D3s est également équivalente, mais le D610 est meilleur que le D700. Enfin, comparés aux meilleurs APS de la marque, le récent D7100 et le vétéran pro toujours en vente D300s, le capteur 24 × 36 et ses plus grands photosites marquent leur différence. »

>> A propos du site DxO Mark, j’ai lancé la différence sur le D610, D700 et le D800 et voici le résultat :

comparatif Nikon D610-D800-D700

comparatif Nikon D610-D800-D700

Voir aussi :

  • Test ISO du Nikon D610 sur photographylife.com (en anglais avec visuels).
    Test ISO de 100 à 800, de ISO 1600 à 6400, de 12800 à 25600.
  • Andrew Chase – robotic run cycle
  • Andrew Chase – sculpture metal
  • Andrew Chase – rex -metal sculptures
  • Mechanical metal sculptures – Rex -Andrew Chase
  • andrew chase – metal sculpture steampunk
  • Andrew Chase – Gorilla / Mechanical metal sculpture

Mechanical metal sculptures by Andrew Chase


SteamPunk, beautiful Mechanical metal sculptures by  Andrew Chase. (Photography & sculptures)

 

  • Digital illustration – One blind mouse – Eye of tiger ©Rhys Owens
  • Office warfare – Urban spaceman ©Rhys Owens
  • Middle class-rebel – The morning after ©Rhys Owens

Digital inspirations by Rhys Owens


Digital inspirations by Rhys Owens. Described as “cruelly cool”, his body of work is comprised of an assortment of surreal characters which are created using a range of traditional and digital techniques. Rhys resides in the city of Swansea which is situated on the South Wales coast in the UK.

Office warfare - Urban spaceman ©Rhys Owens

Office warfare – Urban spaceman ©Rhys Owens

Rhys Owens est décrit comme étant « cruellement cool ». son travail est un mélange de personnages irréels créés de manière traditionnelle et digitale.
Il reside actuellement au Royaume-Unis.

(« One bling mouse » me rappelle Heisenberg)

  • Dog, Im dead – http://ow.ly/pacVn
  • The Promise of Money, 2003, Damien Hirst
  • hellcat
  • David Shrigley – I’m dead
  • Nina Beier, Tragedy
  • Erick Swensen
  • Rosemarie Trockel at Serpentine Gallery
  • Polly Morgan
  • Hungarian artist Geza Szollosi
  • Rowan dg Corkill: Portrait of a Species: 2010
  • moggit-taxidermy-6
  • Jane Edden – Flying jackets – Ornithomorph exibition
  • Julien Salaud -taxidermie art
  • Anne Ten Donkelaar; de draadsanner 2011
  • Taxidermy Art by Annie McKnight
  • © 2010 Sarina Brewer
  • Cai Guo-Qiang – Flying Together (2011)

Taxidermie ART ?


Taxidermie ART ?… est l’art de donner l’apparence du vivant à des animaux morts.

Le principe de la taxidermie consiste à construire une structure ou squelette (en métal ou en bois) sur laquelle on reconstitue les formes de l’animal. Cette reconstitution se faisait initialement en paille, d’où le terme d’empaillage pour désigner l’opération. On parle aussi de naturalisation. La peau de l’animal est ensuite posée par-dessus et ajustée, après avoir été tannée et protégée par des agents chimiques divers.
Pour restaurer au mieux les caractéristiques de l’animal et rendre la plus réaliste possible la reconstitution, on utilise des yeux de verre et d’autres artifices pour certains organes qui ne peuvent pas être conservés chimiquement, comme par exemple la langue.

En avril 2013, un cheval « taxidermisé » avait été exposé à Geneve (voir mon post du mois d’avril), suscitant de nombreuses réactions aux sentiments morbidex, les auteurs de l’oeuvre – Maya Boesch et Régis Golay s’en étaient défendu au nom de l’art… A noter que l’oeuvre a été décroché définitivement  le Dimanche 7 avril 2013 suite à une pétition.

Le cheval, c’est en fait celui de Richard III de William Shakespeare. La metteure en scène Maya Boesch avait monté la tragédie à la Comédie de Genève en décembre 2005. On y voyait l’animal pendu, montant et descendant sur la scène des Philosophes, relié par une poulie à un globe terrestre. Un écho à la célèbre réplique du roi guerrier défait sur le champ de bataille: « Un cheval! un cheval! mon royaume pour un cheval! »

«Depuis plus de huit ans, le cheval était rangé, perdu parmi les accessoires du théâtre, raconte Régis Golay. Nous nous sommes retrouvés, Maya et moi, face à cet animal et l’idée nous est venue de l’exposer en public comme si nous avions découvert un trophée au marché aux puces.»

Il l’ont donc suspendu à deux sangles, au beau milieu de la galerie Zabriskie Point, ancienne salle d’attente d’un des arrêts les plus emblématiques de la ligne 12 des TPG. Comme ça, sans explication ni dossier de presse! «Je ne légende jamais mes images et ne fais pas de pédagogie», répond le photographe installé aux Acacias. Rien à voir donc avec la récente crise du cheval vendu pour du bœuf dans les lasagnes européennes? «Absolument aucune relation», assure Régis Golay, que le buzz autour de cette affaire interpelle tout de même. Il recadre sa première appréciation: «En fait, le cadrage c’est déjà de l’art et le happening qui s’est spontanément développer est aussi une forme d’art.» Source : www.tdg.ch

 Voici donc une sélection d’oeuvre taxidermiste
et je me pose la question…


Drole de titre ?
The Promise of Money
, 2003, Damien Hirst

Voir aussi une page dédiée à ce sujet sur trumbl.

Le «lancer de chats» de l’artiste Jan Fabre, Belgique


Où comment atteindre le summum de la connerie humaine
mais on n’est plus à ça près.

Le plasticien flamand Jan Fabre, adepte de la provocation, est au coeur d’une polémique à la suite d’une performance montrant un «lancer de chats» dans l’Hôtel de ville d’Anvers (nord de la Belgique), qui lui a valu d’être physiquement agressé.

C’est la vidéo d’une performance de l’artiste, dans laquelle on voit plusieurs personnes en train de lancer des chats en l’air, dont certains retombent lourdement sur les marches de l’Hôtel de ville, qui a suscité la polémique, rapportent vendredi des médias belges. Jan Fabre s’est excusé publiquement. «Je regrette vivement que ces chats soient mal retombés. Je veux m’excuser auprès des amis des chats. Ce n’était pas mon intention de blesser ou faire mal aux chats. Les chats vont bien», a-t-il dit à la  télévision publique néerlandophone VRT. Mais il a aussi minimisé l’incident. «J’ai l’impression qu’on a voulu faire du sensationnalisme et que c’est exagéré», a-t-il dit dans une interview diffusée par la RTBF, l’équivalent francophone de la VRT.

La municipalité d’Anvers avait autorisé le tournage dans l’Hôtel de ville d’un film français consacré à la carrière de Jan Fabre, sans savoir que le lancer de chats serait au programme, explique la RTBF sur son site internet. Elle rapporte que l’échevin (adjoint au maire) chargé du bien-être animal, Luc Bungeneers, a déposé plainte, de même que l’association de défense des animaux Gaïa. L’affaire a pris un tour politique inattendu: c’est en effet la municipalité socialiste sortante qui a autorisé le tournage, et l’élu qui a porté plainte est membre du parti nationaliste flamand N-VA, vainqueur des élections communales d’octobre.

Jan Fabre a été agressé physiquement à la suite de la diffusion de cette vidéo, et est sous protection policière. «J’ai dû courir pour sauver ma vie», a-t-il témoigné, disant dormir «depuis trois, quatre jours à des adresses différentes». Internationalement reconnu, l’artiste a fait de la provocation son fonds de commerce. Il a déjà créé une performance montrant un concours de masturbation. Il avait acquis une certaine notoriété en France en 2005 au festival d’Avignon avec des pièces évoquant le sang et l’urine. Il a depuis été «artiste invité» au Louvre. Il expose actuellement une série d’autoportraits intégrés dans les salles de sculpture classique du musée des Beaux-arts de Bruxelles.

Source : La Voix Du Nord


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