Lucien Suel, je vous ai acheté en occaz et vous étiez déjà sali. Je vous ai laissé à l’abandon sur mon bureau où vous avez été témoin de nombreuses choses. Je ne vous ai pas ouvert tout de suite. Un tort… de vous avoir laissé ainsi de côté, et vous êtes encore plus salis ce soir. J’ai donc sorti ma grosse gomme, j’ai soufflé et re-gommé de plus belle mais le mal est fait – vous m’excuserez, il y a un fächeux accroc sur la couverture. J’ai honte. Cependant, j’ai lu d’une traite le point 1. Là, tout de suite. J’ai lu d’une traite et j’ai retenu mon souffle. Je n’ai pas eu le choix de m’arrêter, il n’y a pas de point. Alors je vais prendre une grande aspiration et lire les 22 points restants. Ca promet.
Tu récoltes ce que tu as semé…