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Anti-Racism Activist « Jane Elliott »

Anti-Racism Activist « Jane Elliott » Speaks On The Psychology Of Racism.

anti-racism

Gamblin pour la planète

Discours de Jacques Gamblin pour la planète, qui à l’occasion de la COP 21 a crié haut et fort son engagement pour sauver la planète (au Parlement sensible des Ecrivains, le 14 novembre 2015).

Jacques Gamblin pour la planete

Jacques Gamblin pour la planete

Fukushima radiation hits San Francisco

Fukushima radiation hits San Francisco.
Vidéo prise à Pacifica State Beach (Surfers Beach), California.
>> Sourcetopinfopost.com/2013/12/26/fukushima-radiation-hits-san-francisco 

>> TOUS les thons rouge capturés en Californie sont radioactifs

Fukushima radiation hits San Francisco

Fukushima radiation hits San Francisco

La faim est un monstre

La faim est un monstre

Hunger is a Monster, la faim est un monstre

Hunger is a Monster, la faim est un monstre

La faim est un monstre est un clip très leché realisé par by Marcin Filipek, façon petit chaperon rouge afin de sensibiliser le jeune public au probleme de la faim, insidieuse et aussi féroce qu’un loup.

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Hunger is a Monster (featuring Elle Fanning)

This work is directed by Marcin Filipek. A variation on Little Red Riding Hood, it represents hunger as a wolf-like creature « more terrifying than zombies, werewolves or vampires » because it’s real.
Elle Fanning has been acting since she was two, but rose to prominence in Sofia Coppola’s Somewhere, J. J. Abrams and Steven Spielberg’s Super 8, and this year’s Ginger and Rosa. Her spine-chilling narration intertwines with Filipek’s hauntingly beautiful world, leaving no ambiguity about the end-game of hunger.
The « Hunger Personified » series, produced by the Oscar-nominated Polish animation studio Platige Image and Visiontime is designed to stimulate debate, and to present hunger as an issue to younger audiences.

Epandages aériens de produits chimiques dans l’atmosphère (chemtrails)

© visu http://www.reso-off.fr/chemtrails

 

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l’armée britannique a mené des opérations d’épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfide de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l’ensemble de leur territoire [10] : dénommés par l’acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l’effet d’une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d’optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfide de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d’éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfide de cadmium zinc. [11] Bien que les gouvernements britannique et états-unien aient affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale ou les dommages au foie. (Extrait d’article parue sur agoravox…)

Fukushima : 400.000 tonnes d’eau radioactive, un volume qui ne cesse d’augmenter

Fukushima : 400.000 tonnes d’eau radioactive, un volume qui ne cesse d’augmenter
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a Corée du sud, à juste titre en interdit maintenant l’importation…

Aujourd’hui, 400.000 tonnes et dans 1 an ? 2, 3 ?

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La Corée du sud a décidé, vendredi 6 septembre, d’interdire l’importation des produits de la mer en provenance de la préfecture japonaise de Fukushima. Une décision sanctionnant le manque de transparence du gouvernement nippon face aux fuites d’eau radioactive qui sont intervenues ces dernières semaines sur le site atomique endommagé de Fukushima.

« Tous les produits de la mer venant de cette région vont être interdits, qu’ils soient contaminés ou non », a indiqué à la presse le ministère sud-coréen des Océans et de la Pêche. « L’inquiétude de la population s’accroît à cause du fait que des centaines de tonnes d’eau contaminée par les radiations fuient chaque jour [alors que] l’information fournie par le Japon ne permet pas de savoir comment les choses vont évoluer ».

Le complexe de Fukushima contient quelques 400.000 tonnes d’eau radioactive, enfouies dans le sous-sol où stockées dans des réservoirs spéciaux montés à la hâte par Tepco, exploitant de la centrale. Un volume qui ne cesse d’augmenter en raison de la nécessité de refroidir les réacteurs accidentés.

Toutefois, ces dernières semaines, l’inquiétude de la population comme de la communauté internationale n’a cessé d’augmenter face à l’impuissance de Tepco à gérer ces fuites d’eau radioactive dans l’océan Indien. Alors que certains groupes de pêcheurs japonais ont décidé de stopper leurs activités, Séoul a tout bonnement interdit l’importation de tous les produits marins provenant de Fukushima et de sept autres préfectures avoisinantes.

Source : http://lenergiedavancer.com
le 09 septembre 2013 écrit par 

ANI, un accord qui constitue un énorme recul pour les droits des salariés !

L’ANI, un accord illégitime?

19 mars 2013 Par Gabriel Colletis

Par un étrange retournement de vocabulaire, les procédures que l’on appelait autrefois  « plans de licenciements » se sont muées en plans dits «  sociaux » puis, depuis 2002, en « plans de sauvegarde de l’emploi ». L’Accord national interprofessionnel (ANI) de « sécurisation de l’emploi » procède du même retournement sémantique. L’accord signé par la CFDT, la CFTC et la CGC (et non pas FO comme écrit initialement par erreur), plutôt que de favoriser la sécurisation des emplois,  « libère » le patronat de nombre de ses obligations légales et rend possible une flexibilité jusque-là inconnue.

Pour résumer une perspective curieusement désignée comme « sécurisant l’emploi », les entreprises gagnent en flexibilité interne (mobilité géographique et professionnelle obligatoires, baisse des salaires ou variation du temps de travail en période de conjoncture basse, CDI « intermittents ») et externe (simplification des procédures de licenciement collectif) tout en voyant leurs risques juridiques reculer (les salariés n’auront plus que deux ans pour saisir les prud’hommes contre cinq actuellement ; l’intervention des juges en cas de licenciement sera très limitée).

La contrepartie pour les salariés est une sécurisation individuelle constituée par des droits « rechargeables » (un salarié qui reprendrait un emploi temporaire ne perdrait plus ses droits antérieurs ; un compte personnel de formation est créé).

Selon les termes que nous venons de résumer, il paraît difficile de considérer l’accord comme équilibré et on peut s’interroger sur les raisons qui ont poussé certaines centrales syndicales à accepter de le signer. Nous pensons que l’entrée d’un ou deux représentants des salariés au Conseil d’administration des entreprises de plus de 5 000 salariés ou la refonte annoncée des procédures de consultation ne sont pas de nature à rééquilibrer les termes d’un accord qui profite principalement au patronat et qui s’inscrit dans une conception du travail comme un coût ou une contrainte.

Mais il y a peut-être plus grave encore du point de vue du respect de la démocratie.  La signature de l’accord a été présentée par le gouvernement comme l’expression même d’un dialogue social devant servir à produire la future loi.

Comme le rappelait récemment sur Mediapart un ancien conseiller à la Cour de cassation (http://blogs.mediapart.fr/blog/marie-laure-morin/160113/le-patronat-et-le-dialogue-social-une-approche-etriquee), en fonction de la loi du 20 août 2008, les syndicats signataires d’un accord doivent être « représentatifs ». Pour être qualifiés ainsi, les syndicats concernés doivent avoir réuni au moins 30% des suffrages exprimés par les salariés lors des élections professionnelles. Leurs opposants doivent, pour leur part, ne pas atteindre la barre de 50% de ces mêmes suffrages.

Or les résultats des élections professionnelles, pourtant connus, restent sous le coude du ministre du Travail. La question que nous posons ici est simple : pourquoi ?

Il y a tout lieu de penser que la réponse est évidente : les syndicats signataires de l’accord n’ont pas réuni les 30% de suffrages nécessaires et ne sont donc pas représentatifs.

L’accord, dans ce cas, serait illégitime et ne pourrait en aucun cas être transposé dans une loi.

Si tel n’est pas le cas et que cette hypothèse est erronée, le ministre a un moyen simple de le démontrer et un seul : publier enfin, tout de suite, les résultats des élections professionnelles !

S’il ne le fait pas, la suspicion ne pourra que se transformer en certitude : le gouvernement triche et le soi-disant dialogue social est une fable destinée à faire croire en la légitimité d’un accord qui sous-tendrait sa légalité.

Une question annexe pour conclure : comment se fait-il que la question que nous avons posée, celle du motif de la non-publication des résultats des élections professionnelles, n’ait pas fait l’objet de davantage de commentaires de la part des medias (hors Mediapart ou le Canard Enchaîné) ou de protestations du côté des syndicats non-signataires de l’accord ?

Source : Mediapart

Franck LEPAGE : Inculture(s) ou le nouvel esprit du capitalisme

La vidéo à ne pas manquer. [DUrée 2h3O)

« Avant, j’étais prophète… Prophète salarié. Mon travail consistait à dire la vérité. (La vérité officielle). Et puis un jour, je me suis mis à mentir, et ils ont adoré. On me faisait venir de plus en plus souvent. On me disait que cela mettait de l’animation et de la démocratie. Quand ils ont trouvé que j’allais trop loin, ils m’ont viré. Depuis, je suis clown… Clown-consultant ».
Cliquez sur l’image pour voir la vidéo…


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