Privilégiant un processus artisanal tel que la couture (fait main), elle transforme des matériaux malléables comme des gants, des chaussettes, tissus d’habillement.. et d’autres vêtements texturés qu’elle revêt et imprégne de résine, qui se solidifient et conservent tous les détails tactiles. Ainsi naît ses sculptures figuratives très expressives.
« Dans mes rêves, des bribes de la vie quotidienne se combinent avec des fragments de la mémoire et cela prend une nouvelle signification, je tente de faire écho à cette notion dans les matériaux que je choisis pour mon travail. J’aime l’idée de choses désuètes, rejetées et marginales qui reviennent et forment de puissantes présences. »
CODERCH & MALAVIA, Hamlet (détail), 83 x 30x 20 cm, bronze
Joan CODERCH né à Barcelone en 1959 et Javier MALAVIA né à San Sebastian en 1970, vivent et travaillent en Espagne.
Beaux-Arts de Barcelone et Faculté des Beaux-Arts de Valence.
Juan Coderch et Javier Malavia se rencontrent au sein de l’équipe de sculpteurs de la société Lladró, première manufacture espagnole de porcelaine. Coderch et Malavia y travaillent durant 20 ans. Ils réalisent à travers le monde des démonstrations de sculptures et parcourent ensemble le Japon, Hong Kong, la Corée, la Chine, Taiwan, le Canada et la Grande-Bretagne…
Ils décident ensuite de créer leur propre atelier. A la recherche de nouveaux champs d’inspiration, les 2 artistes traitent entre autres celui du monde de la tauromachie (avec la collaboration du Torero Luis Francisco Espla).
Dustin Poché est un mixed-mdeia artiste qui crée des sculptures, notamment des dolls. Il a suivi ses études au « Colorado Institute of Art ».
Il s’inspire de son amour pour la « Belle époque » et de son expérience première à New York où sa carrière s’est d’abord dirigé vers la création de costumes et d’illustrations dans l’industrie de la mode.
Ses première aventures dans le monde de la sculpture a commencé avec la restauration de poupées boudoir, vers 1920. Ces premières œuvres exposées, ont reçu beaucoup d’enthousiasme et d’admiration.
» J’ai beaucoup appris à restaurer les poupées anciennes, mais il y avait quelque chose qui manquait dans le résultat final. J’imaginais des personnages aux visages, aux émotions et aux gestes plus expressifs. Afin de mettre ces personnages en lumière, je me suis rendu compte que je devais commencer à les sculpter par moi-même.«
Ses idées proviennent de nombreuses sources ; D’expériences personnelles, d’émotions et de découvertes uniques. » Mes pièces sont très personnelles… L’idée commence comme une image floue dans ma tête qui est mise au point au fur et à mesure que le personnage évolue. Mon travail est fait avec de l’argile de papier (papier mâché ?), et j’essaie différents médiums pour créer de nouveaux effets. «
Poché aime travailler avec des textiles anciens, vintage et autres fibres naturelles pour créer les vêtements. L’utilisation de ces matériaux uniques ajoutent à l’authenticité de ses sculptures.
L’œuvre de Poché a été incluse dans des publications artistiques et exposée dans des expositions d’art. Il aime vraiment partager ses sculptures avec d’autres.
«Je suis reconnaissant aux gens d’aimer mon travail et je me réjouis d’autres créations à venir. Cela me donne énormément de plaisir de voir les gens réagir à mon art. Chaque réaction signifie qu’une pièce a évoqué une émotion et c’est ce qui me pousse à continuer à évoluer en tant qu’artiste. »
///
Dustin Poche’ is a Midwestern multimedia artist who creates original sculptures and one of a kind fine art figures. He was formally educated at the Colorado Institute of Art. He draws inspiration from his love of period fashion and his work experience in New York, where his career involved costume design, textiles and illustration within the fashion industry.
His first venture into the figure and sculpting world began with the restoration of boudoir dolls, circa 1920. He exhibited those early works and they were received with much excitement and admiration.
“I learned a lot while working with the antique dolls, but there was something missing in the end result. I imagined characters with more expressive faces, emotions,and gestures. To bring these characters to light, I realized I had to begin sculpting them.”
His ideas come from many sources; personal experiences, emotions, and unique findings. Poche’ comments, “My pieces are very personal and I must be invested in the concept… The idea begins as an unclear image in my head which is brought into focus as the figure evolves. My work is currently done in paper clay but I’m always trying different mediums to create new effects.”
Poche’ likes to work with antique and vintage materials to create the clothing. He feels the use of these unique materials adds to the authenticity of the figure and he enjoys working with natural fibers.
Poche’s work has been included in artistic publications and exhibited at art shows. He truly enjoys sharing his sculptures with others.
“I’m thankful for those who enjoy my work and I look forward to creating for many years to come. It brings me great joy to see people react to my art. Every reaction means a piece has evoked an emotion and that’s what drives me to continue to evolve as an artist.” (Source : Facebook page)
Plastic Bag Sculptures – Khalil Chishtee (Origin Pakistan, resides in New York)
Plastic Bag Sculptures – Khalil Chishtee – In the pursuit of spirituality 2006
Chishtee croit que l’art devrait refléter directement la vie et l’expérience de son créateur. Elle utilise la nature fragile du plastique pour en faire la jonction; Comme ils se déchirent et se décolorent, son art s’en trouve fané et vieilli. Comme des fantômes, ses sculptures (comme « un père embrassant son fils » ou « un autoportrait barbu de l’artiste ») pendent suspendues au milieu de l’air, légères et tombantes.
Les sacs poubelle blancs sont spécifiquement utilisés pour représenter l’âme de chaque sujet. Un sentiment d’incomplétude pour chaque pièce.
Tout comme l’univers continue à évoluer, Chishtee permet à son art de se déformer et d’évoluer dans sa fabrication.
///
Chishtee believes that art should be a direct reflection of its creator’s own life and experience. He uses the fragile nature of plastic to make his point; as it rips and fades away, it implies that the figure is also faded and aging. Like ghosts, figures such as a father embracing his son and a bearded self-portrait of the artist hang suspended in mid air, feather light and falling apart. White trash bags are specifically used to represent each subject’s soul. There’s an incomplete-ness to every piece. Just as the universe continues to evolve, Chishtee allows his art to distort and change in its making.
Fabien Mérelle – Sculptures (FR) /
Diplômé des Beaux-Arts de Paris / Lauréat du prix Canson (2010) /
Ancien pensionnaire de la prestigieuse Casa Velázquez, à Madrid
du réalisateur suédois Lasse Hallström, après la diffusion d’une vidéo montrant un chien terrifié forcé de sauter dans l’eau durant le tournage du film.
Plainte et appel au boycott
« Peta appelle les amateurs de chiens à boycotter le film de façon à envoyer le message que les chiens et autres animaux doivent être traités humainement, pas comme des accessoires de production », a déclaré Lisa Lange, vice-présidente de l’association, interrogée par l’AFP.
Une association canadienne, Animal Justice, a dit de son côté avoir porté plainte au Canada contre les cinéastes pour cruauté envers des animaux.
« Il est illégal d’infliger de la souffrance et de l’anxiété aux animaux, et il n’y a pas de disposition qui permette aux cinéastes d’Hollywood de les maltraiter en toute impunité », a déclaré Camille Labchuk, directrice exécutive d’Animal Justice.
American Humane, l’organisation qui supervise la sécurité des animaux sur les tournages, s’est déclarée « perturbée et inquiète des images » diffusées par TMZ. « Quand le chien a montré qu’il ne voulait pas sauter dans l’eau, la scène aurait dû s’arrêter », a-t-elle ajouté dans un communiqué reçu par l’AFP.
« Notre représentant qui se trouvait sur ce tournage a été placé en congé administratif immédiat et nous allons faire appel à un tiers indépendant pour mener une enquête », ajoute ce communiqué.
Des porte-parole d’Universal Pictures, qui va distribuer le film la semaine prochaine en Amérique du nord, n’ont pu être joints dans l’immédiat, tout comme ceux de la maison de production Amblin (dont Steven Spielberg est l’un des principaux partenaires).
Le chien de la vidéo va bien
Dans un communiqué commun aux médias locaux, ils insistent sur le fait que l’équipe de production a adhéré « à des protocoles stricts » pour assurer la sureté des animaux, et précisent que le chien en question, Hercules, est « heureux et en bonne santé ».
Dans une série de tweets, Lasse Hallström répète que le bien-être des animaux a été une priorité, ajoutant se sentir perturbé par les images vidéo et ne pas avoir été témoin de l’incident. (Source : huffingtonpost.fr)
« Elle cultive un style figuratif, mais est profondément attachée au surréalisme dont elle est la porte parole depuis plusieurs années déjà. Le choc visuel produit par la juxtaposition d’images ou d’objets incongrus, agencés dans une production signifiante, sont l’un des fondement de la poétique surréaliste et la base de ses recherches. Elle cherche une expression philosophique qui bouscule les idées figées donnant naissance à une logique engendrée de l’illogique. »
Paper sculptures Midori Harima (Japan)
Most of this sculptures created with « Paper, Xeroxed archival paper, archival tape, methyl cellulose paste, paper clay.. »
La plupart de ses sculptures ont été créées avec : du Papier, papier d’archives Xerox, ruban d’archives, pâte de methylcellulose, papier mâché…
Midori Harima – Paper sculptures – Lost acquisition